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Faute professionnelle médicale et victimes: quelle est l'importance du choix d'un bon avocat

Au cours des dernières années, le nombre de procédures impliquant des cas de faute professionnelle médicale a considérablement augmenté. Dans le cadre de son activité, le médecin peut engager sa responsabilité pénale, civile ou disciplinaire.

Cela peut se produire pour les causes les plus diverses, allant du non-respect direct des obligations imposées par la loi ou les règlements – qui régissent l’exercice de sa profession – à la violation des devoirs professionnels qui peut aller, dans ce dernier cas, intégrer les extrêmes d’une infraction pénale.

Le domaine de la responsabilité médicale est probablement celui dans lequel International Lawyers Associates a atteint le plus haut niveau de spécialisation, permettant ainsi aux victimes et à leurs familles d’obtenir une juste indemnisation pour tout dommage subi à la suite d’erreurs médicales.

Au fil des ans, cette question a malheureusement acquis une pertinence et une résonance incontestables dans les médias, mais les avocats spécialisés dans les fautes professionnelles médicales d’International Lawyers Associates, sans encourager aucune forme de spectacularisation, ont obtenu des résultats significatifs à la fois devant et hors des tribunaux.

Faute professionnelle médicale : cas et comportement dans lesquels elle se produit

La responsabilité du médecin, liée à l’exécution de ses services professionnels, relève plus largement de la « faute professionnelle médicale » et prend la forme d’erreurs et d’omissions qui nuisent , selon les cas, à la santé du patient, et peuvent même entraîner la mort dans les cas les plus graves.

Il s’agit donc d’une forme de responsabilité de nature coupable ou intentionnelle, de commission ou d’omission. Dans la responsabilité volontaire, les transgressions sont, si elles sont liées à l’exercice de la profession de santé elle-même, intentionnelles et conscientes, de sorte que pour elles la discipline devrait prévoir une peine plus sévère.

Mais, à cet égard, examinons de plus près ce que prévoit la discipline actuelle en matière de faute professionnelle médicale et les principaux changements qui se sont produits au fil des ans en la matière.

Modifications aux règles régissant la faute professionnelle médicale

Ces dernières années, la discipline légale régissant la négligence médicale et la responsabilité pénale des médecins a subi deux changements majeurs: la célèbre loi Balduzzi n° 189/2012 et la loi Gelli n° 24/2017 ont complètement innové le concept même de pertinence pénale dans le comportement des professionnels de la santé.

La loi Balduzzi représentait une intervention importante dans le domaine de la responsabilité pénale des professionnels de santé : selon elle, un médecin qui respecte les bonnes pratiques professionnelles et les indications de la communauté scientifique ne doit pas être tenu pénalement responsable des fautes mineures.

Avant la réforme Balduzzi, en substance, le médecin était beaucoup plus souvent tenu responsable de la maladie de ses patients et de leur mort éventuelle.

La promulgation de la loi Gelli n° 24/2017 a ensuite apporté des modifications substantielles au Code pénal, abrogeant, entre autres, le premier paragraphe de l’article 3 de la loi Balduzzi. En particulier, l’article. 590-sexies sous la rubrique « Responsabilité coupable en cas de décès ou de lésions corporelles dans le domaine des soins de santé », qui identifie les cas dans lesquels le médecin doit être accusé de responsabilité coupable du décès ou des lésions corporelles du patient, en précisant que « si l’événement s’est produit en raison d’une faute professionnelle, la punissabilité est exclue lorsque les recommandations fournies par les lignes directrices telles que définies et publiées conformément à la loi sont respectées, ou, à défaut, les bonnes pratiques cliniques et de soins de santé, à condition que les recommandations fournies par les lignes directrices susmentionnées soient adaptées aux spécificités du cas ».

D’une manière générale, cette règle vise à exonérer de responsabilité le praticien de la santé qui, dans l’exécution d’opérations médicales, a commis une faute professionnelle, s’étant toutefois conformé aux « recommandations figurant dans les lignes directrices ou aux bonnes pratiques d’assistance clinique », à condition que les recommandations énoncées dans les lignes directrices susmentionnées soient « appropriées aux spécificités du cas ».

Cette formulation s’est toutefois révélée peu claire dès le départ et a donné lieu à de nombreux débats. Pour cette raison, la Cour suprême, en 2018, avec le fameux arrêt « Mariotti », a décidé de cristalliser certains points concernant la « nouvelle faute médicale ».

À cet égard, la jurisprudence a donc affirmé que le professionnel de la santé est responsable, par faute, du décès ou des lésions corporelles résultant de l’exercice d’une activité médico-chirurgicale :

– si l’événement est survenu à la suite d’une négligence (même légère) ou d’une imprudence ;

– si l’événement est survenu à la suite d’une négligence (même légère) due à une faute professionnelle, lorsque le cas spécifique n’est pas régi par les recommandations des lignes directrices ou les bonnes pratiques cliniques;

– si l’événement est survenu à la suite d’une négligence (même légère) due à une faute professionnelle dans l’identification ou le choix de lignes directrices ou de pratiques qui ne sont pas adaptées aux caractéristiques spécifiques du cas concret;

– si l’événement est survenu à la suite d’une négligence « grave » due à un manque d’expérience dans l’exécution des recommandations de lignes directrices ou de bonnes pratiques appropriées, compte tenu du degré de risque à gérer et des difficultés particulières de l’acte médical.

Enfin, un autre problème d’interprétation bien connu qui s’est posé au fil du temps est celui de la succession des lois pénales dans le temps, en particulier en ce qui concerne le cadre réglementaire préexistant donné par le « décret Balduzzi ». Plus précisément, la question a été soulevée de savoir si, aux fins de l’application de l’article 2 du Code pénal, la loi qui a introduit l’article 590-sexies dans notre système doit être considérée comme la loi la plus favorable, ou l’article 3 du « décret Balduzzi ».

Toujours sur ce point, afin d’apporter de la clarté, la jurisprudence est intervenue, précisant que : « que le deuxième alinéa de l’article 590-sexies est une règle plus favorable, puisqu’il prévoit une cause de non-punissabilité du médecin qui n’opère qu’en cas d’inexpérience et quel que soit le degré de faute ».

Logiquement, il y a donc un manque de recommandations et de bonnes pratiques accréditées par la communauté scientifique concernant les caractéristiques spécifiques du Covid 19.

À la lumière de ce qui précède, il est raisonnable de s’interroger sur la conduite concrètement requise du médecin dans un contexte caractérisé par la nouveauté de la pathologie ainsi que par l’absence d’études scientifiques sur le sujet.

La spécificité du cas de Covid 19 devra donc être ponctuellement caractérisée par le législateur, et la référence à la faute professionnelle devra indiquer toutes les hypothèses et circonstances qui peuvent survenir dans le cadre du diagnostic de la pandémie.

Cependant, à l’heure actuelle, faute de paramètres codifiés d’assistance clinique pour faire référence aux urgences médicales, et il est difficile d’identifier l’erreur dans la conduite des professionnels de santé, en cas de litige, il apparaît indispensable de se tourner vers des avocats spécialisés et à jour sur les dernières évolutions du domaine.

La responsabilité médicale s’inscrit dans un contexte extrêmement délicat : la relation entre le professionnel de santé et le patient. Dans ce contexte, choisir la bonne défense peut faire toute la différence!

Victimes de faute professionnelle médicale : comment se protéger au mieux

Le scénario juridique concernant la faute professionnelle / responsabilité médicale, comme vous pouvez le constater, a radicalement changé.

Ce qu’il faut maintenant, pour obtenir une bonne protection en présence de fautes professionnelles médicales, c’est de se tourner vers des avocats expérimentés et compétents qui connaissent parfaitement ces nouvelles lois. Dans cette direction, International Lawyers Associates est un excellent point de référence, rendu possible par une équipe d’avocats spécialisés dans les cas de faute professionnelle médicale et de victimes de faute professionnelle.

L’équipe de ce cabinet d’avocats associé bien connu se consacre précisément à la défense procédurale des parties lésées par de tels crimes. Le cabinet offre :

• assistance complète dans le cadre des procédures pénales;

• la plaidoirie dans les procédures civiles;

• Vaste expérience visant à la satisfaction économique la plus rapide possible du client;

• une assistance judiciaire et extrajudiciaire complète pour l’indemnisation des dommages causés par une faute professionnelle médicale.

L’entreprise, aux fins d’une indemnisation équitable des dommages corporels et existentiels, mène une série d’activités visant à prouver la responsabilité des médecins, généraux et spécialisés, appartenant au NHS et / ou au secteur privé.

À cette fin, les membres de l’équipe d’International Lawyers Associates mettent à la disposition du client, avec l’appui de la vaste expérience acquise par les médecins légistes affiliés au cabinet, une expertise médico-légale capable de démontrer le lien de causalité entre l’intervention du médecin et les préjudices causés.

Les fautes professionnelles médicales et les victimes cachent aujourd’hui plus que jamais un besoin urgent et pressant de personnel juridique compétent et expérimenté, compétent et à jour dans le domaine de la faute professionnelle médicale… afin que les dommages et les blessures subis par un patient de la part du personnel médical ne soient plus acceptés silencieusement, mais manifestés et exécutés une fois pour toutes.

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