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Enquêtes criminelles, bancaires et subjectives de la défense : comment recueillir des informations sensibles utiles devant les tribunaux

Nous entendons souvent parler d’enquêtes défensives, criminelles, bancaires et subjectives, mais en vérité, on en sait très peu à leur sujet. Lorsqu’il s’agit d’enquêtes, les activités menées par les corps policiers et les quartiers généraux de la police viennent immédiatement à l’esprit, mais, en réalité, les enquêtes défensives vont bien au-delà de l’intérêt public.

Les avocats de l’ILA sont des experts en matière d’enquêtes pénales, bancaires et subjectives de la défense, spécialisés dans la collecte d’informations sensibles utiles aux tribunaux.

Les procédures civiles et pénales, tant dans la phase préliminaire que dans la phase d’exécution, peuvent en effet exiger, dans l’intérêt subjectif d’une ou de plusieurs personnes, une activité d’information et de renseignement qui présuppose la nécessité de recueillir certaines informations sensibles auprès de tiers qui, au contraire, font tout leur possible pour les garder confidentielles ou secrètes.

Afin d’assurer une protection plus large à son client, l’avocat, dès l’octroi du mandat professionnel, est habilité à mener des investigations afin de rechercher et d’identifier tous les éléments possibles en faveur de son client. Cette activité est réalisée régulièrement, et de manière excellente, par tous les avocats et professionnels qui collaborent avec l’équipe d’International Lawyers Associates.

Enquêtes de la défense : voici les cas dans lesquels elles sont indispensables

Cette activité consistant à acquérir les informations secrètes sous-jacentes à la conduite d’enquêtes défensives, criminelles, bancaires et subjectives peut s’avérer fondamentale et inévitable si l’on a l’intention d’intenter une action en justice.

Pensez au cas dans lequel il est nécessaire de montrer des preuves, de prouver une circonstance, de démasquer un plan malveillant. Il se peut également qu’il soit nécessaire de prouver son cas ou même de connaître le statut réel du patrimoine d’une personne ou d’une entreprise pour – pour ne donner qu’un exemple – déposer une procédure d’exécution ou de recouvrement de créances.

De nombreux cabinets d’avocats se retrouvent dans la position de confier des enquêtes criminelles, bancaires et subjectives à des tiers et, très souvent, ils le font en se tournant vers des agences d’enquête privées plus ou moins sérieuses.

Peut-être ne sont-ils pas au courant de l’activité menée par le cabinet d’avocats International Lawyers Associates, qui fonctionne avec des critères d’équité, de précision et de légalité inégalés ailleurs.

L’équipe de ce cabinet gère en effet personnellement les enquêtes d’enquête développées grâce à son département d’enquête entièrement interne.

Ce dernier se compose de professionnels qualifiés avec des décennies d’expérience dans les plus grandes entreprises mondiales du secteur de l’enquête. Aucune enquête n’est exclue du travail effectué par ces professionnels, qui sont également impliqués dans des enquêtes visant à retracer des personnes, des biens et des actifs ayant une portée mondiale, car ils opèrent non seulement au niveau national et international, mais dans le monde entier.

Comment répondre au besoin de rapidité procédurale et de confidentialité dans les enquêtes de la défense

Étant donné que les délais pour mener les enquêtes de la défense, pénales, bancaires et subjectives sont inévitablement courts, précisément en fonction des besoins de l’accusé et/ou de l’accusation, il est facile de comprendre comment il devient impératif de mener à temps les enquêtes de la défense en bonne et due forme.

Dans ce cas, il est donc de notre devoir d’agir avec une extrême rapidité, ainsi que, bien sûr, avec équité, précision et politesse.

Lors de la réalisation des enquêtes de la défense, il convient de tenir compte des aspects extrêmement techniques à analyser au cas par cas, en respectant toujours les critères d’équité, de confidentialité et de bon sens requis, en particulier dans le domaine du renseignement. Le fait qu’un avocat puisse mener des enquêtes défensives, rechercher et identifier des preuves en faveur de son client, est expressément prévu à l’article 327 bis du Code de procédure pénale, introduit par l’article 7 de la loi no 397/2000.

En revanche, les modalités selon lesquelles l’avocat de la défense est tenu de mener ces enquêtes sont régies par les articles 391 bis à 391 decies du Code de procédure pénale, qui constituent le titre VI bis du livre V du Code de procédure. Le « modus operandi » de l’avocat, dans ce contexte spécifique, fait également l’objet des « Règles de conduite de l’avocat pénaliste dans les enquêtes de la défense » approuvées par l’Union des chambres pénales italiennes en 2007 et des articles 14 et 52 du Code de déontologie judiciaire.

Les enquêtes sur lesquelles, comme on l’a précisé, les articles 391 bis et 391 ter du code de procédure pénale portent sur trois modalités distinctes : a) l’« interrogatoire » qui doit être informel, c’est-à-dire non documenté ; b) les « déclarations » qui doivent être écrites et signées par le témoin pour être accompagnées d’un procès-verbal de réception du document écrit, établi par l’avocat de la défense ; c) les « informations » que l’avocat de la défense recueille au moyen d’un rapport spécial signé par lui et le témoin.

L’entretien non documenté avec des personnes capables de rapporter des informations utiles peut se limiter à l’acquisition d’informations utiles à des fins d’enquête; Cette approche informelle est également autorisée pour les enquêteurs et les consultants techniques.

La déclaration écrite peut être demandée à des témoins potentiels, auquel cas elle doit être signée par le déclarant et authentifiée par l’avocat de la défense ou son remplaçant. À ce sujet, la Cour suprême a réitéré à plusieurs reprises que: « En ce qui concerne les enquêtes de la défense, les déclarations écrites recueillies par le défenseur, conformément au paragraphe 2 de l’article 391 bis du Code de procédure pénale, sont inutilisables sans le procès-verbal analytique des avertissements énumérés au paragraphe 3 dudit article, qu‘il est tenu d’adresser au déclarant. (En l’espèce, la Cour a jugé que les déclarations enregistrées avec une simple référence sommaire aux avertissements en application de l’article 391 bis du code de procédure pénale étaient inutilisables) ». (Cour de cassation pénale, arrêt n° 51073/2016).

Les témoins potentiels peuvent également fournir, à l’avocat de la défense ou à son suppléant, les informations dites documentées (le procès-verbal pertinent doit contenir les avertissements visés au paragraphe 3).

Comme on le sait, afin de ne pas conditionner le déclarant, la personne faisant l’objet de l’enquête, la partie lésée et, après l’engagement des poursuites pénales, d’autres parties privées ne peuvent pas assister à l’enregistrement de ces déclarations.

En général, des règles spéciales sont prévues pour l’écoute de la personne lésée par l’infraction, qui sont prévues tant par le CNF que par l’Union des chambres criminelles italiennes. Ces deux organes ont établi ce qui suit: « Pour s’entretenir avec la personne lésée par l’infraction, lui demander des déclarations écrites ou recueillir des informations, l’avocat de la défense procède par invitation écrite, après avoir avisé l’avocat de la personne lésée elle-même, si son existence est connue. Si la personne lésée n’est pas assistée, l’invitation indique la possibilité pour un avocat d’être consulté et d’intervenir dans l’acte », et encore : « Si la personne lésée est assistée d’un défenseur, celui-ci doit en être informé au moins vingt-quatre heures à l’avance. S’il n’est pas assisté d’un défenseur, l’invitation indique qu’un défenseur doit néanmoins être consulté et intervenir dans la procédure ».

Ces organes prévoient également des précautions particulières en cas d’audition d’un mineur. À cet égard: « Dans le cas d’un mineur, l’invitation est également communiquée à la personne exerçant l’autorité parentale, avec le droit d’intervenir dans la procédure », et à nouveau: « Dans le cas d’une personne âgée de moins de 14 ans, sans préjudice des dispositions précédentes, pour l’obtention d’informations ou la demande de déclaration, le conseil de la défense peut se prévaloir de la présence d’un expert désigné à cet effet comme conseil de la défense ».

Il est également possible d’interroger le coaccusé, sous réserve d’en aviser l’avocat de la défense (si l’avocat de la défense n’est pas présent, l’affaire ne peut pas aller de l’avant et une nomination d’office est requise). Le détenu peut également être entendu sous réserve de l’autorisation du juge, mais la présence de l’avocat de la défense n’est pas requise.

En conclusion, il convient de souligner que, parmi les diverses activités que l’avocat de la défense peut exercer dans le cadre des enquêtes de la défense, il y a sans aucun doute celles prévues et réglementées par les articles 391 quater et 391 sexies du Code de procédure pénale. En cas de refus de l’Autorité, l’avocat peut saisir le procureur de la République pour demander la saisie des documents. Si le procureur décide également de ne pas ordonner la saisie, la demande doit être transmise au juge des enquêtes préliminaires en vue d’une décision. Conformément à l’article 391 sexies du Code de procédure pénale, l’avocat de la défense peut donc avoir accès à des lieux publics ou privés, afin de les inspecter ou d’effectuer divers types de vérifications.

Comment les enquêtes défensives sont menées

Chaque opération liée à la bonne conduite des enquêtes défensives, pénales, bancaires et subjectives a lieu après un dialogue et une interface avec la personne assistée.

C’est précisément en tenant compte des besoins qui émergent à l’issue de ce dialogue que sont définies les méthodes opérationnelles d’action concrète visant à obtenir les informations clés requises.

Afin de mener des enquêtes de défense, criminelles, bancaires et subjectives de manière professionnelle, rapide et efficace, International Lawyers Associates opère en offrant les services suivants.

Enquêtes subjectives, pénales et de la défense

• enquêtes personnelles;

recherche des personnes disparues;

• des enquêtes personnelles de grande envergure;

audits des systèmes de communication par satellite, GPS et ordinateur.

Dans le domaine des enquêtes bancaires

  • enquêtes bancaires à l’échelle mondiale;
  • recherche de localisation sur les institutions bancaires nationales et géolocalisation des positions;

  • services de gestion du crédit;

  • recherche sur les bases de données nationales et étrangères sur les mauvais payeurs;

  • la recherche des débiteurs;

  • les demandes de renseignements auprès des bureaux d’enregistrement locaux et nationaux;

  • des analyses approfondies des entreprises italiennes;

  • recherche d’actifs et d’héritiers;

  • la recherche d’actifs et d’héritiers;

  • le recouvrement du crédit à l’échelle mondiale;

  • des conseils personnalisés sur la façon de protéger ou de récupérer le crédit.

Les enquêtes de la défense peuvent vraiment changer l'issue d'une affaire.

Au sein du personnel juridique d’ILA, nous avons des professionnels spécialisés, des avocats expérimentés dans les enquêtes défensives, subjectives et bancaires.

Nous sommes pleinement conscients de la façon dont de telles enquêtes peuvent avoir des conséquences sur l’issue d’une affaire. Elles peuvent amener à la victoire ou à l’échec.

C’est pourquoi il est d’une importance vitale de s’appuyer sur un personnel expérimenté, légitimé pour travailler sur le terrain et capable de le faire avec honnêteté, compétence, professionnalisme et rapidité.

En conclusion, il est absolument essentiel de souligner le principe cardinal de notre système juridique selon lequel l’avocat de la défense ne peut jamais et en aucun cas « filtrer » et modifier ce qui est constaté lors de l’enquête de la défense menée afin de prendre des éléments en faveur du client.

Toutefois, ce devoir déontologique, à la différence de celui du procureur de la République qui doit verser à son dossier toute la documentation relative aux actes d’instruction effectués, doit être concilié avec le droit accordé à l’avocat de choisir d’utiliser ou non ce qui est constaté au cours de l’enquête; il peut décider de produire au juge les preuves recueillies ou de ne pas le faire s’il estime que ces preuves ne sont pas utiles pour la ligne de défense choisie.

De cette manière, l’obligation de loyauté est conciliée avec la tâche institutionnelle et le devoir déontologique du défendeur de rassembler et de trouver des éléments pour la défense de son client.

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